Ma "maison" à Salvador
Le ciel, la lune, les étoiles
La nuit, quand les travaux, par coup de chance, cessaient parfois, j'aimais me mettre dans le hamac sur la varanda.
D'abord c'est là qu'il faisait le plus frais, si je puis dire. Je regardais la télévision de mon hamac, en la tournant vers moi.

Et surtout, j'aimais regarder le ciel
Les couleurs changeantes du ciel. Un dégagé pareil vers le ciel, je ne l'ai peu connu dans ma vie.

Je vivais le soir entre les effluves de marijuana du voisin d'en dessous qui remontaient vers mon
balcon, et les effluves des spirales "Sentinela" chez moi pour faire fuir les moustiques (et les cafards).


Soirées dans le noir, sur le hamac sur la véranda, à regarder la télé, à regarder les étoiles, (oui le ciel était souvent clair),
le déplacement rapide de la lune dans le ciel et ses grossissements de jour en jour, sa couleur blanche argentée ou dorée comme le soleil.
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Je tentais avec le zoom de mon appareil photo de voir et de photographier ce que contenaient les petits points lumineux
des étoiles. Et j'y suis arrivée quelque peu.
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J'étais aussi fascinée par les avions qui passaient au dessus de ma tête. Le quartier de Barra est survolé par les avions qui décollent de l'aéroport. Et la nuit, ils décollent à un rythme incessant. Ils survolaient mon immeuble, lumières accrochées à leurs ailes et à leur queue. Tout cela entre les cri-cri des grillons et le bruit des climatiseurs des appartements voisins.
DIAPORAMA
