Vivre à Salvador pendant deux mois et demi

Samedi 30 novembre 2008 - Samedi 14 février 2009


Ma "maison" à Salvador

Mon appartement

Mon appartement est ce qu'on appelle un quarto / sala, c'est à dire ce qu'on appelle en France, un deux-pieces.
Une chambre, avec un très bon matelas, mais encore recouvert de sa housse d'achat en... synthétique !).
La mer sous les yeux, le coucher de soleil... et donc situé plein sud-ouest et donc très chaud.

VIDÉO


©PlaneteJoce
On entend le bruit des travaux


Je fermais les rideaux dès le milieu de la matinée. C'était très spacieux pour moi, comparé à mon studio parisien.
J'ai apprécié cet espace, le fait d'avoir une chambre, une cuisine, séparées.

Quand j'y suis entrée, il y avait plein de tapis vieille mode dans les pièces. J'ai vite fait de retirer ces nids à poussières. Je me suis retrouvée avec un sol de carreaux blancs. Mais j'ai appris que ce n'était pas le mieux non plus pour le ménage... car le ménage avec la poussière des travaux, je devais le faire tous les matins.



Le tapis nid à poussière

Voilà, c'est mieux !

Par contre, l'équipement de cuisine était bien au minimum pour cuisiner et vivre sur une si longue période.


La cuisine

Il y avait un climatiseur dans la chambre, mais je ne l'allumais que très peu, car je payais la consommation d'électricité en sus, et la clim, tout comme la douche chaude (élecrique), ça pompe énormément.
Dans le salon, un petit ventilateur.



La chambre

La salle de bain

Le propriétaire avait installé la télévision Sky, le truc à la mode à Salvador, qui me donnait plein de chaines, dont surtout TV5.
Mais Sky, je l'ai payé en extra, 128 reais (43 €) par mois.
Qu'aurais-je fait sans TV 5 Monde, car les chaines brésiliennes... novelas, ou américaines... beurk.


Ce que j'appréciais le plus c'était la varanda et surtout le hamac qui y était installé.


Le soir, quand il n'y avait pas de travaux... parfois, je m'installais sur le hamac, car il faisait très chaud dans l'appartement, et j'avais même pris l'habitude de regarder la télévision de mon hamac. Je me délectais aussi de regarder le ciel, les étoiles, la lune, et les avions qui survollaient, au décollage, allumés, mon quartier.


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